•  In order that love should come into its own, it must be untrammeled and unlimited. Love does exist in all phases of human life, but it is latent or is limited and poisoned by personal ambition, racial pride, narrow loyalties and rivalries, and attachment to sex, nationality, sect, caste or religion. If there is to be a resurrection of humanity, the heart of man will have to be unlocked so that a new love is born into it—a love which knows no corruption and is entirely free from individual or collective greed.

    The New Humanity will come into existence through a release of love in measureless abundance, and this release of love can come through spiritual awakening brought about by the Masters. Love cannot be born of mere determination; through the exercise of will one can at best be dutiful. Love self-communicative Through struggle and effort, one may succeed in assuring that one’s external action is in conformity with one’s concept of what is right; but such action is spiritually barren because it lacks the inward beauty of spontaneous love. Love has to spring spontaneously from within; it is in no way amenable to any form of inner or outer force. Love and coercion can never go together, but while love cannot be forced upon anyone, it can be awakened through love itself. Love is essentially self-communicative; those who do not have it catch it from those who have it. Those who receive love from others cannot be its recipients without giving a response which, in itself, is the nature of love. True love is unconquerable and irresistible. It goes on gathering power and spreading itself until eventually it transforms everyone it touches. Humanity will attain to a new mode of being and life through the free and unhampered interplay of pure love from heart to heart. 

      When it is recognised that there are no claims greater than the claims of the universal divine life which, without exception, includes everyone and everything, love will not only establish peace, harmony and happiness in Redemption of humanity through divine love in social, national and international spheres, but it will shine in its own purity and beauty. Divine love is unassailable to the onslaughts of duality and is an expression of divinity itself.

    It is through divine love that the New Humanity will tune in with the divine plan. Divine love will not only introduce imperishable sweetness and infinite bliss into personal life, but it will also make possible an era of New Humanity. Through divine love the New Humanity will learn the art of co-operative and harmonious life; it will free itself from the tyranny of dead forms and release the creative life of spiritual wisdom; it will shed all illusions and get established in the Truth; it will enjoy peace and abiding happiness; it will be initiated in the life of Eternity.

     


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  • Il n'y a jamais rien eu d'autre que Toi.


    Il n'y aura jamais rien d'autre.

    L'Infini exprime une célébration
    pour découvrir que tu es l'unique.

    - Harry Palmer

     
    Il n'y a jamais rien eu d'autre que Toi
     

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  • Qu'est ce que vivre ?


    Il ne faut pas s’accrocher aux alternatives en se disant qu’elles vont changer la société.


    La société changera quand la morale et l’éthique investiront notre réflexion.
    Chacun doit travailler en profondeur pour parvenir à un certain niveau de responsabilité
    et de conscience et surtout à cette dimension sacrée
    qui nous fait regarder la vie comme un don magnifique à préserver.

    Il s’agit d’un état d’une nature simple :
    J’appartiens au mystère de la vie et rien ne me sépare de rien.
    Je suis relié, conscient et heureux de l’être.

    C’est là que se pose la question fondamentale : qu’est-ce que vivre ?
    Nous avons choisi la frénésie comme mode d’existence
    et nous inventons des machines pour nous la rendre supportable.
    Le temps-argent, le temps-production, le temps sportif
    où l’on est prêt à faire exploser son cœur et ses poumons pour un centième de seconde…
    tout cela est bien étrange.
    Tandis que nous nous battons avec le temps qui passe,
    celui qu’il faut gagner, nos véhicules, nos avions, nos ordinateurs nous font oublier
    que ce n’est pas le temps qui passe mais nous qui passons.
    Nos cadences cardiaques et respiratoires devraient nous rappeler à chaque seconde
    que nous sommes réglés sur le rythme de l’univers.

    L’intelligence collective existe-t-elle vraiment ?
    Je l’ignore mais je tiens pour ma part à me relier
    sur ce qui me parait moins déterminé par la subjectivité et la peur,
    à savoir l’intelligence universelle.
    Cette intelligence qui ne semble pas chargée des tourments de l’humanité,
    cette intelligence qui régit à la fois le macrocosme et le microcosme
    et que je pressens dans la moindre petite graine de plante,
    comme dans les grands processus et manifestations de la vie.
    Face à l’immensité de ce mystère, j’ai tendance à croire que notre raison d’être est l’enchantement.

    La finalité humaine n’est pas de produire pour consommer,
    de consommer pour produire ou de tourner
    comme le rouage d’une machine infernale jusqu’à l’usure totale.
    C’est pourtant à cela que nous réduit cette stupide civilisation
    où l’argent prime sur tout mais ne peut offrir que le plaisir.
    Des milliards d’euros sont impuissants à nous donner la joie,
    ce bien immatériel que nous recherchons tous, consciemment ou non,
    car il représente le bien suprême, à savoir la pleine satisfaction d’exister.

    Si nous arrivions à cet enchantement,
    nous créerions une symphonie et une vibration générales.
    Croyants ou non, bouddhistes, chrétiens, musulmans, juifs et autres,
    nous y trouverions tous notre compte
    et nous aurions aboli les clivages pour l’unité suprême
    à laquelle l’intelligence nous invite.
    Prétendre que l’on génère l’enchantement serait vaniteux.
    En revanche, il faut se mettre dans une attitude de réceptivité,
    recevoir les dons et les beautés de la vie avec humilité, gratitude et jubilation.
    Ne serait-ce pas là la plénitude de la vie ?
     
    Pierre Rabhi
     

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  • Qu'est ce que l'éveil ?

    Je vais vous parler un peu pelle-mêle de ce qu'est, ou de ce que n'est pas
    l'éveil. Beaucoup s'interrogent à ce sujet (à tort ou à raison), et peinent à trouver ne serait-ce qu'un début de réponse.

    Avant toute chose, l'éveil n'est pas l'illumination. Il s'agit de deux choses différentes.
    L'éveil est un état de conscience différent, proche du tout jeune enfant, qui offre un regard frais, et complet sur le monde. Le décrire tient de la gageure, car il dépasse la compréhension intellectuelle, et le définir avec des mots est donc impossible. Les mots égarent, plus qu'ils ne guident, lorsqu'ils tentent de nous révéler quelque chose au delà de l'entendement. On pourrait dire que l'éveil, c'est un état dans lequel on est connecté à tout, on ressent tout, et on sait qu'on fait partie de ce tout... sans pour autant le concevoir intellectuellement.

    Paradoxal, n'est ce pas ? En fait, on pourrait parler de
    "vrai savoir". Dans la vie, on ne sait rien. L'être humain naît et meurt sans rien savoir véritablement. Mais dans l'éveil, la part de nous qui sait est là, elle communique avec nous, et on sait... véritablement.

    L'éveil n'est pas quelque chose de constant, ni d'acquis. On peut atteindre l'éveil, et le perdre dans la minute qui suit. On peut être éveillé des secondes, des minutes, des heures, des jours, des semaines, des mois, ou même des années, et subitement ne plus l'être. C'est un petit peu comme la joie, on l'éprouve aléatoirement, un instant on est joyeux, et celui d'après on ne l'est plus. On ne peut pas vraiment commander à cela, mais on peut s'offrir un cadre de vie favorisant l'apparition de la joie. Il en va de même pour l'éveil. Une
    vie spirituelle, et sereine, proche de la nature, est plus encline à déclencher en nous l'état d'éveil.

    Comment atteindre l'éveil ? En commençant par abandonner sa recherche ! En effet, celui qui cherche l'éveil ne le trouve que lorsqu'il abandonne. dans le taoïsme, on parle de Wu Wei, ou Non-Agir.
    C'est une approche qui vise à cesser de chercher à faire une chose, pour permettre à cette chose d'être faite. Le Wu Wei consiste à suivre le cours Naturel, sans chercher à lutter contre. Celui qui lutte contre le courant se noie, tandis que celui qui se laisse porter atteint
    le rivage.
    Un dicton amérindien disait "Ne lutte pas contre le torrent, laisse
    toi couler avec lui". Dans le Chan, et le Bouddhisme Zen, la méditation est pratiquée sans objet ni motif. C'est la raison pour laquelle beaucoup de courants la pratiquent face au mur. On ne médite pas pour atteindre l'éveil ou l'illumination, on médite, c'est tout.
    Celui qui médite pour atteindre l'illumination manque totalement le but.

    Celui qui regarde le sommet de la montagne quand il commence à la gravir s'essouffle dès les premiers pas, et ne voit rien du paysage, ni du rocher dans lequel il va se prendre les pieds. Alors que celui qui regarde le chemin sur lequel il est, et ce qui l'entoure, sans chercher à savoir où il va, celui là profite du paysage, évite les embûches, et va réellement quelque part. Pour celui qui voudrait déjà être arrivé, le chemin semble trop long, pour celui qui profite du chemin, ce dernier semble bien court.

    C'est une des signification de "Ici et Maintenant", dans le Bouddhisme. Il faut que la conscience soit à l'endroit où nous sommes, et à l'instant où nous y sommes.

    Un conte Zen nous offre une superbe métaphore à ce sujet. En japonais, l'éveil se dit "Satori".

    Un jour, un bûcheron entendit parler d'un animal rare, et légendaire, appelé Satori. Tous les chasseurs affirmaient que celui qui en attraperait un, vif ou mort, serait un véritable héros. Notre bûcheron voulut en savoir plus, et demanda "où trouve-t-on un tel animal ?" On lui répondit qu'on le trouvait partout, mais qu'il était si difficile à voir et à attraper, que c'était peine perdue. Retournant à sa forêt pour couper du bois, il ne parvenait pas à s'ôter Satori de la tête, il voulait à tout prix voir cet animal, et l'attraper.
    Décidé, il commença à fouiller les bois, discrètement, pour trouver une trace de Satori. Tous les jours, il passait un temps considérable à sa recherche, mais en vain.
    Un jour, cependant, il entendit un petit rire moqueur dans les feuillages, et une voix espiègle lui dit alors: "Tu dois être fou ou bien naïf si tu penses que pourras un jour m'attraper !" Le bûcheron reconnut aussitôt Satori, et décida de redoubler d'efforts... mais rien n'y faisait. Il construisit des pièges, il tenta de faire du bruit pour effrayer Satori et le pousser à faire une erreur dans sa précipitation, il essaya au contraire de se cacher pendant des heures, à scruter le sous-bois.
    Rien à faire, non seulement il ne voyait pas Satori, mais ce dernier avait pris pour habitude de se moquer du bûcheron :
    "Pensais tu vraiment qu'un piège aussi rudimentaire suffirait à m'attraper ?"
    Au fur et à mesure que le temps passait, le bûcheron désespérait. Mais ce qui l'inquiétait le plus, c'est qu'il avait laissé son travail à l'abandon, et que les journées froides arriveraient bientôt. Il fût alors obligé de se résoudre à couper à nouveau du bois, mais Satori le harcelait, lui rendant son travail difficile.

    A chaque fois qu'il tentait de travailler, Satori lui disait:
    "Allons, tu ne vas pas me chercher aujourd'hui ? Cette fois sera peut-être la bonne !"
    Notre bûcheron n'avait pas le choix, si il voulait avoir de quoi se chauffer, et de quoi donner au village du bois pour les cheminées, il fallait qu'il se concentre.
    Il s'efforçait de s'absorber dans son travail, de ne plus écouter
    Satori.

    Au départ il n'y parvenait pas, la voix nasillarde et moqueuse
    l'énervait, mais finalement, il s'habitua aux railleries de Satori, et n'y
    prêtait plus attention. A tel point qu'il ne pouvait même pas dire si Satori s'était moqué de lui pendant 5 minutes, ou toute la journée !
    Il coupa un arbre, toujours aussi concentré sur son travail, et tandis qu'il s'abattait sur le sol, un couinement aiguë se fit entendre.
    Le bûcheron, inquiet, alla voir d'où cela provenait, et il trouva quelque chose coincé sous l'arbre. Il déplaça le tronc, et fût frappé de stupeur: c'était Satori !

    En général, nous avons tous connu l'éveil au moins une fois.
    Enfant, nous étions proche de cet état. Parfois, lorsque nous sommes absorbés par notre travail, ou par une de nos actions, que nous sommes juste présent, et conscient, quelques secondes d'éveil viennent nous éclairer. Lorsque c'est si court, on a du mal à se rendre compte qu'il s'est passé quelque chose. On s'est senti "étrange", on a
    l'impression d'avoir eu un vertige, ou que pendant un instant on était comme le spectateur de la vie, et même spectateur de soi-même.

    Comme si on était en train de regarder tout cela depuis "plus loin". On se dit qu'on n'a pas assez dormi, et on oublie. Pourtant, cela était peut-être un fragment d'éveil qui nous a été offert.

    Atteindre l'éveil, c'est être présent ici, et maintenant, être conscient, être à ce qu'on fait.
    C'est ne pas chercher l'éveil. C'est faire, et non chercher à
    faire. C'est vivre une vie saine, en mangeant une nourriture saine. Atteindre l'éveil peut-être fait par n'importe qui, dans n'importe quelle situation. En bonne santé ou malade, repus ou affamé, en forme ou fatigué, en méditation ou au travail, en plein effort ou au repos, dans la nature ou en prison... mais une vie plus sereine, plus calme, plus posée, plus saine, et plus naturelle, favorise l'émergence de l'éveil, qui a alors tendance à se manifester spontanément, plus souvent, et plus longtemps.
    La fréquence, l'intensité, et la durée de l'éveil pourrait presque être un "appareil de mesure", un indicateur de la qualité de notre vie. Il n'y a rien d'étonnant à ce que des moines cultivant leur terre, mangeant de bons produits sains, proches de la nature et sereins aient pu parler de notions comme l'éveil avec plus d'éloquence que n'importe qui
    d'autre. Leurs conditions de vie favorisaient cette expérience.

    L'éveil nous permet de voir plus de choses, de comprendre les choses, à
    l'intérieur de soi, sans l'intellect, sans réfléchir. Il nous permet de
    mémoriser ce que nous voyons, de le fixer dans notre âme, dans notre esprit, comme un cristal pur. Ces souvenirs sont alors, une fois l'éveil parti, comme ceux d'un rêve lointain. On a l'impression que ces souvenirs sont irréels, mais paradoxalement, ils sont d'une clarté, et d'une précision hors du commun. On en vient parfois à avoir l'impression que ce sont les souvenirs de quelqu'un d'autre qui nous ont été communiqués.
    C'est que ces souvenir appartiennent à une part de nous qui est au delà de notre conscience ordinaire. Ce sont les souvenirs d'une part de notre être plus proche de ce qu'il y a de divin.

    Qu'est ce que l'éveil ? C'est l'état de l'être qui est sain.
    C'est l'enfant qui apprend une langue à la perfection en quelques mois seulement. C'est l'étincelle dans les yeux de cet enfant quand il voit un arbre, ou un animal. C'est le Sakki du guerrier (sorte d'intuition inintelligible qui permet d'éviter une agression, et de n'en prendre conscience, au mieux, qu'à posteriori).
    L'éveil, c'est l'ouverture de soi à soi.
    L'éveil, c'est notre intellect qui s'efface au profit de notre âme.
    L'éveil, c'est l'adulte qui dort pendant que l'enfant observe les
    étoiles.
    C'est le reflet de la lune sur une mer d'huile.

    Comment atteindre l'éveil ? En ne le cherchant pas, et en étant juste présent, ici, et maintenant. Comme disent les "New Ageux": en lâchant prise.
    En ne cherchant pas à agir, et en ne cherchant pas non plus à ne pas agir.
    Étrange paradoxe... ne pas chercher à faire quelque chose, et ne pas chercher à ne pas faire cette chose.
    Accepter que la Nature soit incompréhensible, car au delà de
    l'intellect, et la laisser faire. La suivre, la vivre, tout simplement.

    L'éveil est non duel, il est au delà de la manifestation de l'expérience.

    L'éveil est tellement simple, qu'il nous est impossible de le comprendre.

     


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  • LA PRÉDICTION TRÈS MÉCONNUE DE JUNG

    Carl Gustav Jung, à la fin de sa vie, au terme d’une profonde exploration des tréfonds de la psyché humaine entrevit, avec le physicien et prix Nobel Wolfgang Pauli, qu’il existait un niveau de « réalité profonde » où conscience et matière ne faisaient plus qu’un ?

    « Jung a prédit pour ce début de siècle un véritable bond dans la conscience humaine qui sera déclenché par une double harmonisation Masculin-Féminin et Ciel-Terre.

    Avec le physicien quantique Pauli, Jung cherchait à rendre compte de la conscience en tant qu’énergie organisatrice. Ainsi la conscience, en tant qu’énergie sémantique, infuse tous les niveaux de l’esprit-corps-psyché et les organise. A l’échelle collective, un véritable réseau pensant se construit, en co-évolution avec la planète Terre, et qui progressivement s’harmonise à l’échelle planétaire. »

    Dans la théorie des champs sémantiques, toute matière et tout système, jardin ou musée, est une constellation de sens.

    Ainsi nous baignons dans un gigantesque champ de conscience planétaire en création permanente, au sein duquel l’humanité et la Terre co-évoluent.

    Nous sommes actuellement à un seuil où l’humanité entière va passer à un autre rythme, un autre plan de conscience : nous avons déjà enclenché le processus de métamorphose !

    A partir de l’an 2000, et pour un cycle de deux millénaires se réalise une triple conjonction (ou harmonisation, dans le sens de mariage mystique) :

    1. Avec la première, le principe féminin, symbolisé par la Sophia (la sagesse) retrouve sa place dans le monde spirituel et se conjoint au principe masculin. Alors le principe divin masculin, harmonisé au féminin, s’incarne à nouveau sur Terre, mais cette fois-ci dans le cœur de chaque être, accomplissant l’œuvre d’harmonisation intérieure entre la personnalité et le Soi, le conscient et l’inconscient, le féminin et le masculin en nous.

    2. Cette deuxième conjonction verticale du Moi et du Soi a été le but très difficile à atteindre de tous les chemins de connaissance dans le cycle passé : c’est le mariage du roi et de la reine dans l’alchimie, l’état de libération dans les religions orientales, la réalisation dans le mysticisme, la perte de l’ego et le silence intérieur chez les shamans amérindiens. Mais, nous prédit Jung, ce cycle verra l’atteinte de cet état par un grand nombre d’êtres.

    3. Enfin, alors que l’Esprit s’incarne ainsi dans les êtres, par une alchimie de l’énergie du Verbe, il spiritualise à la fois le corps de la matière, de la Terre, et de l’Humain : c’est l’avènement du Nouvel Adam. Du fait que les Soi revivifiés communiquent entre eux, nous entrons donc dans un cycle d’harmonisation collective des consciences et d’harmonisation avec la planète : nous tissons et créons ensemble le champ planétaire, nous nous approchons du Point Oméga de Teilhard de Chardin.

    C’est le cycle de la réconciliation Homme-Terre.

    * La prédiction de Jung : la métamorphose de la Terre - Christine Hardy - Editions Dervy, 2012


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